Figure 60:
Autocorrélation (impulsion de Dirac) et densité spectrale (constante) théoriques
d'un bruit blanc.
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Figure 61:
Autocorrélation et densité spectrale estimées d'un bruit blanc; L'estimation
se fait en accumulant des résultats partiels à partir de séquences de durée finie. La
variance de la densité spectrale qui est nulle en théorie est d'autant plus petite
que le nombre de séquences utilisées pour son calcul est
grand.
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C'est un signal dont les valeurs mesurées à des instants différents sont des variables
aléatoires indépendantes les unes des autres (fig. 61).
Si ce bruit
est centré, sa fonction d'autocorrélation vérifie
A une normalisation près, c'est une impulsion de Dirac à l'origine.
La densité spectrale est sa transformée de Fourier
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La densité spectrale d'un bruit blanc est constante et égale à la variance du signal étudié.
Ce bruit blanc a un rôle important dans la modélisation des
perturbations apportées aux mesures des signaux.
En général, on fait l'hypothèse que les bruits sur lesquels
on ne dispose pas d'information particulière sont des bruits blancs
centrés stationnaires et gaussiens.
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